Des motifs arabesques et des nuances de bleu, Les Temps Perdus est une série qui ouvre les portes de l’onirisme.
De ces formes et motifs ressort un désir d’évasion, une incitation au voyage psychique de l’être qui perd ses repères dans un champ visuel saturé d’informations.
Elles sont des stèles, des autels du passé évoquant des souvenirs oubliés. Elles sont les portails d’un autre part, d’un autre monde, d’un autre temps.
De différentes natures, et pourtant bien proches les unes les autres, elles fonctionnent comme un écosystème équilibré qui dialogue et s’enrichit mutuellement.
Comme un biotope, elles s’étendent dans l’espace sous différents formats, elles émergent du sol et sortent des murs, tendent vers le ciel pour en absorber la lumière ; elles grandissent et évoluent.
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