• Créer une structure en assemblant des diapositives trouvées, récupérées à différents endroits; marchés aux puces, sur le web, etc.

• Toutes ces diapositives témoignent d’histoires intimes d’époques et de régions différentes. Reliées par de petits anneaux en métal, accrochées comme un rideau sur une barre de métal décalée à environ un mètre du mur, la·le spectateur·rice peut traverser ce couloir créé par la structure. L’instalation étant conçu pour habité un des mur du cloitre, lorsque le soleil va venir déposer ses rayon sur les diapositives, des fragment d’images et de souvenirs vont se projeter sur le mur blanc et prendre vie par la mouvance du soleil.

• L’idéal serait un rideau 120/140 cm, pour l’exposition du mois de mai, l’objectif est fixé à une dimension de 60/70 cm pour un total de 335 diapositives environ.

RÉFÉRENCES:

Agnès Varda,
La cabane du film Le Bonheur d’Agnès Varda, 2017 https://www.cnap.fr/agnes-varda-1

Isabelle Monnin, Les gens dans l’enveloppe, 2016 L’autrice trouve un lot de photos d’une famille anonyme, la première partie du livre est fictionnelle, Isabelle Monnin y fait ses projections sur cette famille.

Dans la deuxième partie commence l’enquête à partir d’éléments de photos pour retrouver la véritable histoire de ses personnes

L’Oeuvre de Christophe Boltanski:
Travail avec photo, lumière, rapport au temps souvenir, travail avec des photos de personnes non identifiées.