2016, installation in situ, volumes de dimensions variables.
À partir de polygones simples (comme une citation lointaine de la modélisation 3D) agencés spontanément puis « explosés » par de la mousse expansive, l’artiste improvise des sculptures « virales ».
Installées dans l’espace d’exposition au milieu des autres œuvres, ces « virus » dormants matérialisés se sont déjà propagés, sans que l’on sache pour autant s’ils représentent une menace.
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